[chanson] Spooky

Bienvenue chez mon moi! Je mettrai ici mes petits écris :)

Le démon

Dort et crève petit ours
Ne t'inquiètes pas on te troquera
Bien avant de t'avoir fait la fête
Histoire de vivre
Accroché à notre pleine bourse
Comme on solde notre corps ivre
Du coeur à notre grosse tête

Tu as de quoi te noyer
Suffoquer à la connerie humaine
Divers chances tentées en vain, quelle veine
Maître de tout indétrônable et indétrôné
De quoi rire jaune, de cette vie en noire
Rêver en rose pendant ces nuits blanches

Plus qu'à rassembler les victuailles
Enfin avoir de quoi nourrir la bête
Pour qu'après même son exorcisme
Que de cette horreur on en baille
Et qu'on dort à en tuer tête
Et que de cette misère,
On touche le volcanique paroxysme


*****


Règle du jeu

Petit homme armé d'un coeur
Ta sensibilité tu accouches
Bulle d'amour et de tendresse
Qui font s'envoler mes peurs
Ton âme posée sur ma bouche
Ta main sur mon corps
Me parcourt une envoutante paresse
Mon coeur s'enterre sous les cendres
De cette chaleur qui dort

Se volatilise et se consume
Ma conscience se brûme
Je perds mon coeur et mes sens
Saloperie de frénétique danse
Ca tourne, ça se casse la figure
Ton aura s'avance de source sûre
Eclate la tempête
On s'éclipse de cette foutue fête

Des ballons qui claques
Je remballe mon coeur en vrac
Ton âme se détache
Ma bouche se cache
Ta main disparait
Mon corps nu est abandonné
Je m'écrase à nouveau sur terre
Voyage de courte durée
Adultère qui déterre

Mon coeur qui sufoque
De ton amour en cloque
Qui me brûle et me lasse
Je perds et je passe
C'est fini je ne jourais plus
Les règles que je n'ai pas lu
La consumation de la passion
M'enlasse et m'embrasse
C'est fini, je ne jourais plus ton pion


*****

La foire

Tu as tiré la corde sensible
Dégommé ce qui me sert de coeur
Tout comme un crétin de chasseur
Tireur compulsif, balles inaudibles

Tu as choppé le gros lot
T'es content, tout ça c'est bien beau
Mais toi et moi, c'est pas la foire
Et pourtant nous deux c'est le foutoir

Me prennent des pulsions lapines
Car si tu oublies en vain
Je pourrais bien te tuer ce matin
Te sauter dessus, féline

Jeu dangereux, jeu fabuleux
Peluche de consolation
Des ballons rouges et bleus
Qui s'affolent d'une étrange excitation

Tu as loupé le gros lot
T'es content, tout ça c'est bien faux
Mais toi et moi, c'est bien la foire
Et pourtant nous deux c'est l'espoir

Ton amour est spectre
Le mien est être
Je m'accroche à ce train
Encore et toujours en vain

Suis je le gros lot?
De ce jeu mortellement beau
Toi et moi... merde c'est la foire
Je comprends plus... foutoir et désespoir...

Je me détache,
de cette corde magique.
On me le rabâche,
Je coupe ce lien onirique
C'est fini je n'y crois plus,
Tes baisers en surplus,
Me laissent entièrement coi
Et pourtant...
Je continue de faire semblant...
J'y crois, ou plus
Je ne sais plus...


*****

Mon obsession

Ta ligne de vie
Qui raconte la mienne
S'entrecroisent avec folie
Ma paume me demande d'être tienne

Avec tes petits fils de fer
Je pris et m'agenouille
T'm'enlasses pour que j'me perds
Mon coeur de peur, se rouille

Ne me touche plus
Je risque la folie
Éloigne ton corps
Et ce petit cul
Cette jolie pépite d'or
Qui te définie

Je ne vois plus que cette silhouette
Tes courbes qui m'enchantent
Forment un grand huit qui me hante
Ton creux me fait signe que c'est la fête

Ce même creux, ce four-voyeur
Anciennement réservé à ton ex
Suinte et exhale le sexe
Sans gêne je m'en délecte avec ferveur

Ne me touche plus
Je risque la folie
Éloigne ton corps
Et ce petit cul
Cette jolie pépite d'or
Qui te définie

Touche moi encore
Oublie ce stupide amour
Libère mon corps
Avec un langage de sourd

Ton extérieur est miens
Ton corps m'appartient
Ton intérieur je m'en fou
Je le vends ou le loue
Afin d'en profiter
Encore un petit coup...


*****

Myrtille

Sa petite tête bleue
On dirait une myrtille
Elle en a fini vieille fille
Et ses yeux sont des étoiles
Là, sous son joli voile

Et aujourd'hui elle est creuvée
Ses cheveux dans le vent frais
Sa robe moisie six pieds sous terre
Laisse un souvenir de la vie amer

Elle ferme alors comme elle peut
Comme elle peut ses jolis yeux
S'imagine un endroit merveilleux
Où on rit et où on est heureux

Un endroit si beau que l'on en crève
Tous prits dans un étrange rêve
Où on boit et rit d'un bonheur figé
Où on en rit à en creuver

Sa petite tête bleue
On dirait une myrtille
Elle en a fini vieille fille
Et ses yeux sont des étoiles
Là, sous son joli voile

Elle se voit tournoyer dans le vent
Dans un champs de pendus hylarants
Qui lui rappelle son ancienne vie
Qui se révèle pas si jolie

Mais la question qu'on se pose
Pourquoi a t-elle fini dans les roses?
Maintenant on la pleure, ou peu être pas
Egoistement on veut quelle revienne, ou pas

Sa petite tête bleue
On dirait une myrtille
Elle en a fini vieille fille
Et ses yeux sont des étoiles
Là, sous son joli voile


*****


Oui/Non


Une cage aux oiseaux
Qui me barre la vision
De ses affreux barreaux
Impression d'toucher le fond

Quand j'étais petit on m'a dit
Que tout le monde il est beau
Et gentil
J'doutes mais m'auraient ils menti?
Ces salauds!

Le monde il est beau?
Oui...
Prends moi pour un con!
Non...
Il faudrait se lever tot?

Tout au fond de ma baignoire
Mes idées se noient dans le noir
Je voudrais des fois y voir
L'espoir que j'aimerai boire

Quand on est tout petit
Il parrait que tout est joli
Et rose
Sauf que ça pue l'overdose
A fort' dose

Le monde il est beau?
Oui...
Prends moi pour un con!
Non...
N'hésite pas à tourner le dos...


Au fond de mon petit lit
Ca fait mal la première fois
Il parait, oui mais non mais si
Oui non si, ou je sais plus quoi

Oui oui oui
Le monde il est joli
Oui oui oui
Je te prends pour un con
Non non non
La vie est bien pourrie
Non non non
Et on mord à l'hameçon
Oui non oui oui non si non oui...
Non... Enfin oui, ou peu être non.


*****


H

Ils sont comme ci
Et nous ainsi
Ils sont comme cela
Et nous voilà

On tire et on retire
On aime jouer les martyrs
Se défendre contre l'épée
Qui ne saurait exister

On brandit notre bouclier fier
On veut les amasser par terre
Les foutre six pieds sous terre
C'est tout ce qu'on s'est faire

Il n'existe pas d'homosexualité
Juste de l'homophobie
C'est la dur réalité
La triste vérité
De la vie; De la vie

Mais vous voilà
Alors nous sommes là
Vous êtes ce que vous êtes
Pourtant jamais on ne s'entête

Nul autre choix que de se défendre
Peu être rennaitre de nos cendres
Du feu que vous ne savez qu'allumer
Sans cesse, sans cesse et sans arrêt

A certains ils arrivent d'avoir honte
D'autres qui ferment leurs deux yeux
Plongent et sombrent dans des contes
Ou chacun détient le Je qu'il veut

Il n'existe pas d'homosexualité
Juste de l'homophobie
C'est la dur réalité
La triste vérité
De la vie; De la vie



*****


Tu sais...

Tu sais mon amour, l'amour...
Je voudrais que ça rende sourd
Mais pour ça il faut être seul
N'aimer que sa belle gueule!

Imagine que je soliloque...
J'aurais bien la tête en cloque
Même sans cela, du matin au matin
Tu m'enseveli de tes discours sibyllins

Tu sais mon amour, l'amour...
Je voudrais que ça rende sourd
Mais pour ça il faut être seul
N'aimer que sa belle gueule!

Discours du matin, ou vespéral
Tu ne fais qu'utiliser ton oral
A mauvais escient cela va s'en dire
Si encore je pouvais en rire

Tu déblatère tes paroles impies
Tu es passé maïtre en logomachie
Depuis qu'on est marié je suis marri
Et toi... tu es juste l'impaire ici

Tu sais mon amour, l'amour...
Je voudrais que ça rende sourd
Mais pour ça il faut être seul
N'aimer que sa belle gueule!

Je voudrais te laisser une notule
Quand tu me vois dans ma bulle
Oublie tes sempiternelles paroles
De nous deux,
Je risque d'en avoir plein le bol
C'est facheux,
Je reste là, las de tes écholalie
Je reste lala, de tes échos l'ami


*****


Il était une fois

Histoire de vice
Qui plisse
Sous le lys
D'une émotion
D'un tourbillon
Qui parrait sans fond

Tes hurlements blancs
Se heurtent aux tympans
D'ombres éloquentes
En murmures stridents
Petite scalène dégoulinante
L'opprobre souintante


D'un petit bout de soie
Tu caches tes ombres
Noires au plus profond de toi
Un gouffre obséquieux et sombre


Une histoire prosaïque
Une héroïne conspuée
Un prince déclassé
Une saleté heroïque
Un conte fantastique
Qui te laisse émechée

Tu as la vie devant toi
Pour te souvenir de cela
Ce pieu qui te transperce
Te noie telle une averse
Relêve la tête et aboit
La pitié ne donnant qu'à
- controverse


D'un petit bout de soie
Tu caches tes ombres
Noires au plus profond de toi
Un gouffre obséquieux et sombre

Tu sais déjà tout c'que j'en pense. Un jour tu mériterais d'être connu ! Puis un jour tu le seras, j'suis sûre.

Tu sais ce que je pense et que je te soutiens à 200%, tu sais que je suis ta fan numéro 1 (oui j'ai décidé ça moi-même) et je crois que je les connais tous et j'aime énormément... ^^

Euh.. Merci ^^'

Arianne=> Enfaite cette année si je décroche un job je vais prendre des cours de chants (car c'est aps donne), car j'avoue que mon rêve le plus absolue serait de pouvoir les chanter. Donc un jour peu être qui sait

Si tu sais jouer on attend quoi? xD

J'ai oublié ce détail! M'enfou on fait comme Lavigne on trafique!

'Lo a écrit:

Que tu saches chanter peut être ? XD

Alors là, je m'incline! Ca c'est du répondant!
Non mais pourrissez pas son topic, ça part déjà en vrille!

Deux nouveaux dont un qui fait polémique (si vous trouvez une faute d'orthographe c'est que c'est surement fait exprès)


Ode Final



Je tintinabulle
De mon humeur bulleuse
J'explose la bulle
De cette vie savoneuse

Pour éviter de déambuler
Sur ce sol de bulle d'ère
Emplit de barbullet
Je plonge dans mon bain d'air

A la surface de mon bain
J'en devins l'interface
J'ressasse le passé bénin
J'ossile entre couteau et tasse

Je remets le couvert
Dans mon lit aquatique
Bien à l'aise sous terre
Te rend ce service phréatique

A la surface de mon bain
J'en devins l'interface
J'ressasse le passé bénin
J'ossile entre couteau et tasse

Je creuse et plonge
Je gorge et bois
Je nois et longe
Je songe et crois

Fin de service
Alors je m'imisse
Au fond de la vague
Fini l'aquabague



Un deux trois (non pas soleil)


Faire danser mon humeur
A la musique de ton tambour
Agrémenter de toxique douceur
Allé encore un petit tour

Un... deux... trois
Un de moins
Deux, j'me nois
Trois- malin
Echos-rage
Et sauvage

Et quand tu me tends
Bourre l'ustensil
Sèche et dégouline
Evites le volant

Un... deux... trois...
Un de moins
Deux, j'me nois
Trois- malin
Echos-rage
Et sauvage

Fonce dans le mur
Ils n'ont d'action
Que la panne dure
Amoureuse immolation

Un... deux... trois...

Un de moins
De nous deux
Trois malsain
Echos-rage
Et sauvage

L'un se noit
Deux qui glisse
Trois c'est l'visse
Essorage raté
Tout à relaver

Alors le premier, tu sais ce que j'en pense, j'ai encore un nouveau préféré! *_*
Je sais pas expliquer ce que j'aime dans ta façon d'écrire, c'est juste que c'est vraiment travaillé, autant les sonorités que les images (oui je reviens encore avec ça), mais voilou, tu comprendras que j'aime! ^^
Ensuite, pour le deuxième, je viens de le relire, et j'ai une impression horrible: celle de passer à côté d'un truc énorme. Parce que la métaphore est bien trouvée et c'est le moins que l'on puisse dire mais mon cerveau doit manquer de neurones pour tout saisir et ça m'énnerve. Donc je bloque toujours autant, mais le pire c'est qu'après relecture je me dis que je suis blonde parce que je sais pas, je saisis pas tout... Bref. xD

Je me ratraperai au prochain, enfin j'espère

On en reparlera peut-être ailleurs, mais je dois dire que je suis assez impressionné (et fier en tant que Papounet ;-)... Certains textes ont une poésie incroyable...

Et puis ça te ressemble bien...

C'est du Spooky !!! aucun doute...

Après, tu sais que moi, y a un p'tit truc qui me gêne, (je pense que tu devines quoi...), si t'as besoin et si t'as envie, je peux t'aider sur ce point là...

Bonne nuit !!! (cette fois, j'y vais)

Toony -> quand est ce que tu convies Zazie pour un p'tit duo avec toi ?? ;-) (elle aime bien les p'tits jeunes en plus :p)

Oui je sais l'orthographeuuuuuhhhh

Azy corrige si ça t'amuse! xD

Oui non, je suis content que tu aimes, avoir des avis de pleins de gens différents ça me conforte toujours un peu plus dans mon éventuel rêve... Bref merci

C'est remoi Avec deux, encore

Un sourire

Et cette larme qui transpire
Qui ne t'arrache un sourire
Pourquoi est elle là
L'as tu voulu ou quoi?

Tu m'as planté cette larme
Au plus profond de mes failles
J'en ai déposé les armes
Face à tes entrailles

Une goutte déclenche un sourire
Dans une équation qui va sans dire
Tout aussi peu équilibrer que cela
T'inquiètes pas je ne t'en veux pas

Tu m'as laissé là à nu
Sans sentiments ni mue
Tu m'as tourné le fessier
Face à ma face affolée

Une simple et petite fenêtre coi
Qui me fait trébucher hors de moi
Une chute voulue, et attendue
Vouloir un sentiment inattendu

une goutte déclenche un rire
Dans une équation qui va sans dire
Tout aussi peu équilibrer que cela
T'inquiètes pas je ne t'en veux pas

Je suis lassé
Je suis brassé
De ton amour faux
De ton tour chaud

Une fois dans ta cour
J'attends un signe
Cimenté de ma peine digne
A croire q'je suis sourd

Cela devrait déclencher un rire
Ne t'inquiètes pas je ne t'en veux pas




L'envers du corps


Je ne décroche de ton corps
Tu ne cesse de crier ton sort
Problème, voilà l'envers du décor

Je te croyais bien fait
Beau et bien rebondit
Bien monté et bien courbé
Doux sauvage et fini

L'envers du décor qui frappe
A la porte telle une grappe
Qui grain par grain
Me font perdre mon vin

Je ne décroche de ton corps
Tu ne cesse de crier ton sort
Problème, voilà l'envers du décor

Je te croyais bien sans rapport
Sous tous rapports, tous les ports
Je m'amenais même à des fois penser
Q'tu avais l'odace d'etre parfaitement fait

L'envers du décor, cul de sac
Et voilà, déguisée, l'arnaque
Qui aurait cru, qui aurait sut
Que tu n'étais qu'un beau cul

Je ne décroche de ton corps
Tu ne cesse de crier ton sort
Problème, voilà l'envers du décor

J'adore tes deux derniers! Je pensais préférer le premier mais le deuxième j'en suis vraiment fan! Enfin je t'ai déjà dit tout ça. Je t'admire vraiment parce que tu fais ce que je rêve d'être capable de faire, donc je te hais!

Bonne nuit les petits

Quand ce sera couché le jour
Quand le soleil me tournera autour
Je saurai alors que tu es parti
Que c'est fini tu es endormi

Le marchand de sable t'as enseveli
Il en a oublié le réveil de la vie
Tu as beau faire le beau aux bois
C'est aux cimes d'hier que tu seras

Bonne nuit les petits
Le conte est fini
L'temps de fermer les yeux
Fermer le livre poussiéreux

Et demain, hier sera pareil
Aujourd'hui on regrettera la veille
Le futur pleurera le parfait
Le présent fera pleuré après

Mais il est déjà l'heure
De s'endormir de peur
A savoir que tu ne seras pas là
Au réveil, près de moi

Bonne nuit les petits
Le conte est fini
L'temps de fermer les yeux
Fermer le livre poussiéreux

C'est ça la vie les petits
Ce n'est pas un compte fini
Les héros une fois le livre fini
S'en-vont pleurer les astres punis


Ris

Je me fou du qu'en rira t-on
Rira bien qui rira le dernier
Tes sales manies toi et tes jurons
Souriez vous êtes entrain de pleurer

Tu m'as rie au nez
Comme tu prends tes coups
Je suis resté bouche bé
Le sourire jusqu'au joue

Depuis je souris orangé
Sans cesse tu miaule
Et quand tu minaude
J'hérisse le poil et

Je me fou du qu'en rira t-on
Rira bien qui rira le dernier
Tes sales manies toi et tes jurons
Souriez vous êtes entrain de pleurer

Plus qu'assez de tes humeurs
Frivoles, féline et de peur
Pas assez de tes saveurs
On sut me mettre l'eau au coeur

Je me vois et me noies
Je casse la sacrée noix
Qui a protégé mon coeur
De ton bec sans saveur

Je me fou du qu'en rira t-on
Rira bien qui rira le dernier
Tes sales manies toi et tes jurons
Souriez vous êtes entrain de pleurer



De toi à moi

Je suis là suspendu
A te regarder batifoler
Et déblatérer sans retenue
L'mots me laissant haut perché

De tout la haut
Je rêve à des jours passés
A notre amour crevé
Qui s'est éteint trop tôt

La tête dans les nuages
Je rêve de m'éclipser
Pouvoir tourner la page
Jeter le livre ou le brûler

Dans cette bibliothèque brumeuse
Je rêve dans le flou de ce ciel gris
J'attends habité de pensées honteuses
Un monde sans toi, un monde prise à parti

Cet objet du désir qui me hante
Cette barre de fer qui exhale
La fumée rougeâtre et transparente
Je le plaide, m'arrache quelques râles

D'un sourire, je me rappelle ce bruit
D'un rire, sans gêne, maintenant je pris
Je me rassure à me dire que j'ai eu raison
En espérant qu'tu ne franchiras pas ce pont

Est-ce toi ou cet amour qui m'a consumé
Qui m'a amené à pousser le dernier soupir
Ne m'en veux pas, mais les mauvais souvenirs
Ont eu le dessus, de toi à moi, j'ai du tirer.

Alors le premier, j'm'incline, je sais pas pourquoi ce genre de thème me plaît autant mais avec tes mots c'est encore meilleur, t'as un réel talent, y a vraiment quelque chose qui se dégage de tout ça, c'est travaillé et moi j'aime. *_*
Le deuxième bon j'ai eu du mal à saisir et quand je ne saisis pas tu crois que j'aime alors que c'est faux, même si c'est celui des trois qui me plaît le moins, j'avoue (ben oui faut bien en trouver un! mdr). Et justement parce que je percute pas tout de suite et quand je percute pas tout de suite j'ai l'impression de passer à côté de quelque chose et ça m'énnerve! lol
Euh le dernier je ne suis pas sûre de l'avoir lu mais je dis juste amen, parce que bon, ça me parle pis ça sert à rien de se justifier plus, j'aime, c'est mon préféré des trois derniers!